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Journal intime d'un homme pas comme les autres
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2 juin 2010

Mardi 22 mai 2007.

 

Puisque je parlais de « partouze », j’en ai une autre qui me revient en mémoire.

Celle-là, j’y participais vraiment par le plus grand des hasards.

Je venais de satisfaire un client dans mon cabinet, il était parti et j’avais donc comme d’habitude pris une douche et fait un nettoyage complet de mon outil de travail.

Je ressortais pour rejoindre mes camarades en vue de trouver un nouveau jouisseur, car je n’avais pas atteint la satiété pour la journée.

Un minibus était stationné contre le trottoir que nous investissions à l’accoutumé et j’aperçu à l’intérieur plusieurs de mes collègues et néanmoins amis.

Je m’approchais et me renseignais.

Comme j’avais envie de sexe, j’acceptais la proposition qui précisait qu’il s’agissait d’une « partouze à douze ».

Pourquoi douze ? Pour la rime surement.

Toujours est-il qu’une fois que j’étais à bord, le minibus démarra et je m’aperçu que nous étions justement douze prostitués dans le véhicule.

En fait, le jouisseur ne désirait être que spectateur et libérer sa semence lui-même.

Il nous demanda juste de nous ébattre ensemble, avec une seule exigence, nous devions exécuter le petit train qui devait ensuite se transformer en ronde fermée.

C’est au moment où le premier de la chaine s’emboita dans le dernier et que nous nous retrouvions en cercle à profiter aussi bien par devant que par derrière que notre spectateur poussa un gémissement de plaisir avant de combler le sol de son trop plein de sperme.

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