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Journal intime d'un homme pas comme les autres
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25 mai 2010

Mercredi 9 mai 2007.

 

Quel béta je fais. Je n’ai pas fini de te raconter l’orgie avec Cul Sec et Sasha.

Donc nous nous retrouvions assez rapidement nus tous les trois pour le plus grand plaisir visible de nos deux hôtes.

Ils nous caressaient sans relâche.

Je fus d’ailleurs très surpris de la douceur des caresses du Marquis, lui qui dans les moments protocolaires était plutôt du genre à avoir un « balai dans le cul » comme le dit l’expression populaire.

Bravant tous les dangers pour Monsieur le Comte, je me lançais à l’assaut de la braguette du Marquis et en sortit un très bel appendice auquel je prodiguais avec la plus grande application possible une fellation qui je dois le dire me donna beaucoup de plaisir.

Son voisin, lui, prenait un malin plaisir à regarder mes camarades s’embrasser et se serrer l’un contre l’autre dans une sensualité assez déroutante pour moi, qui ne soupçonnais pas qu’ils puissent être aussi excitants.

C’est d’ailleurs, cette scène qui me fit proposer à Cul Sec de passer une nuit dans mon cabinet, ce qui nous valut une très belle nuit de sensualité et de plaisir.

Lorsque la limousine s’arrêta devant le porche de la magnifique villa où devait se dérouler cette orgie, le Marquis actionna un levier et demanda au chauffeur de rentrer la voiture au garage et d’en refermer la porte.

Une fois la grande porte refermée, nous fumes invités à descendre de la voiture dans la tenue d’Eve dans laquelle nous étions.

Nous sortîmes donc nus comme des vers, en ayant pris soin de prendre nos affaires que nous tenions serrées sous nos bras.

On nous conduisit dans une immense pièce au style rétro au milieu de laquelle trônait un magnifique lit de forme ronde d’une taille Gulliverienne.

Nous nous y installâmes et il y restait encore de la place pour pas mal de monde.

Les contours de la pièce étaient soulignés par une série de chaise et fauteuils, de très mauvais gout, puisque le tissu qui les recouvrait était d’une couleur tirant sur le kaki largement passé sous les rayons du soleil.

Le Marquis nous rejoignit après quelques minutes d’attente.

Il nous expliqua que nous devions dans un premier temps, nous amuser tous les trois ensemble devant le public qui allait prochainement faire son entrée, puis qu’ensuite, nous aurions pour mission d’intégrer selon notre envie tous les spectateurs dans nos jeux.

Plus rien ne nous étonnait nous prostitués que nous étions et cela ne nous posait donc aucun problème de faire le bon vouloir de ses messieurs puisqu’ils nous avaient très bien payé.

Les portes de la pièce s’ouvrirent et une file indienne de messieurs en costumes plus ou moins de bon gout s’éparpillèrent tout autour de nous pour aller poser leurs fessiers sur les chaises.

La représentation pouvait commencer et nous nous lançâmes donc dans un spectacle sensuel et carrément sexuel.

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