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Journal intime d'un homme pas comme les autres
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25 mai 2010

Vendredi 4 mai 2007.

 

Ma mémoire est étonnante tout de même.

Enfin moi, elle m’étonne.

Un souvenir est remonté à la surface, encore un et il doit y en avoir plein d’autres qui se cachent au fond.

J’ai rarement travaillé en collaboration avec mes collègues, mais cela est arrivé.

Une fois, c’était quelques mois après que j’ai installé mon cabinet, nous tapinions ensemble avec Cul Sec et Sasha.

Cul Sec ne devait pas son surnom à une pénurie de lubrifiant, mais à sa façon de déglutir tout ce qu’on pouvait lui donner dans un verre.

Nous arpentions le trottoir, quand une immense limousine s’arrêta à notre niveau.

Heureusement pour moi, lorsque j’étais Java, il était presque impossible de reconnaitre Monsieur le Comte, car parmi les deux hommes assis à l’arrière de la limousine, l’un d’entre eux n’était autre que le Marquis de Blanche Minois, que Monsieur le Comte fréquentait régulièrement dans les soirées mondaines.

Le Marquis et son comparse, nous proposait une orgie.

Nous trois jeunes hommes de plus ou moins vingt ans, avec eux et quelques uns de leurs amis.

Suite à mon expérience avec le master et de par ma décision de ne plus honorer mes contrats en des domiciles privés, je m’inquiétais du lieu au se déroulerait cette fête du sexe.

Une villa avait été louée pour l’occasion, car ces messieurs ne pouvaient décemment pas s’adonner à leurs plaisirs secrets ni dans leurs demeures familiales, ni devant leurs femmes et enfants.

Après quelques minutes de négociation, nous avons convenu d’un tarif assez élevé.

Plus tard, lorsque nous eûmes quelques instants de répit, mes petits camarades me remercièrent chaudement d’avoir fait monter les tarifs de la sorte.

Nous fûmes donc invités à monter dans la limousine, où l’on nous servit du champagne.

Je ne le trouvais pas terrible, mais Cul Sec et Sasha fort peu habitués à ce type de breuvage découvraient qu’il existe des vins pétillants bien meilleurs que le crémant, même si de mon avis personnel un excellent crémant est bien meilleur qu’un mauvais champagne.

Nos deux hôtes avides de découvrir mon corps, commencèrent à avoir les mains baladeuses.

Je me permis immédiatement de mettre un terme à leurs manipulations, en annonçant que le buffet ne serait ouvert qu’après paiement des gages négociés.

Le Marquis appuya sur un bouton placé près de lui et la vitre noire qui nous séparait du chauffeur se baissa pour laisser apparaitre une main tendue contenant trois belles liasses de grosses coupures.

Une fois que chacun de nous eut rangé sa liasse, les quatre mains se remirent à leurs fouilles pour mettre à nu nos corps jeunes et imberbes.

Imberbes pas tant que ça, car Sasha avait une pilosité plus qu’abondante sur le torse, ce que je n’avais jamais deviné.

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