25 mai 2010
Samedi 7 avril 2007.
J’ai aimé ce pouvoir que j’avais sur les hommes.
Mon physique était une arme absolue et me permettais de leur faire faire mon bon vouloir, rien que par l’envie qu’ils en avaient.
C’est incroyable tout de même à quel point le paraître peut fasciner l’homme au point qu’il soit capable d’y perdre son âme.
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